Avec le noble Empereur Sanguinius régnant depuis Macragge, l'Imperium Secundus représente un flambeau d'espoir solitaire, alors même que les forces du Maître de Guerre continuent à ravager la galaxie. Rouboute Guilliman, quant à lui, est convaincu que Terra est tombée, et le mystérieux Mont Pharos, sur la planète Sotha, contient la clef de l'avenir de l'humanité. Mais les Night Lords - les cruels fils de Konrad Curze - observent depuis les ombres, et se préparent à lancer leur propre assaut sur Pharos.…
On reprend l'arc narratif de l'Imperium Secondus là où on l'avait laissé depuis le livre éponyme. Alexis Polux a rejoint Barabas Dantioch au Mont Pharos. A la tête d'une montagne antique, ils servent de moyen de communication et d'autoroute pour les vaisseaux de l'Empire Ultramarine. C'est le truc qui permet à l'Imperium Secondus de survivre, mais on y laisse qu'une compagnie d'Astartes pour la défendre. Lorsque arrivent les Night Lord, tombés par hasard sur la lumière du Mont Pharos dans la nouvelle Un endroit sûr et plongé dans l'ombre, la guerre éclate.
On suit donc un scout, deux capitaines Night Lord Krukresh et Skraivok, Kellendar le boucher du second, un sergent des forces de défence Mericus Giraldus, Lucretio Corvo (le héros de la nouvelle Les lauriers de la résistance et enfin Dantioch et Polux tout au long du récit. Peut-être qu'ils sont un peu trop nombreux ? En tout cas, Dantioch et Polux sont de vrais astartes héroïques, et Mericus est une vraie bouffée de fraîcheur.
L'histoire m'emballe, mais l'écriture de Guy Haley n'est pas exceptionnelle. Maintenant, il faut quand même dire que le scénario est convenu, que l'on voit certains trucs venir à quinze bornes, et qu'encore une fois, les antagonistes ne sont pas des flèches. Ce n'est pas catastrophique même si on est loin d'un chef d'oeuvre, ça passe. Et puis après tous les derniers recueils de nouvelles, j'étais content d'entrer dans une vraie grosse histoire.
On suit donc un scout, deux capitaines Night Lord Krukresh et Skraivok, Kellendar le boucher du second, un sergent des forces de défence Mericus Giraldus, Lucretio Corvo (le héros de la nouvelle Les lauriers de la résistance et enfin Dantioch et Polux tout au long du récit. Peut-être qu'ils sont un peu trop nombreux ? En tout cas, Dantioch et Polux sont de vrais astartes héroïques, et Mericus est une vraie bouffée de fraîcheur.
L'histoire m'emballe, mais l'écriture de Guy Haley n'est pas exceptionnelle. Maintenant, il faut quand même dire que le scénario est convenu, que l'on voit certains trucs venir à quinze bornes, et qu'encore une fois, les antagonistes ne sont pas des flèches. Ce n'est pas catastrophique même si on est loin d'un chef d'oeuvre, ça passe. Et puis après tous les derniers recueils de nouvelles, j'étais content d'entrer dans une vraie grosse histoire.
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